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La troisième phase du projet (2006-2009)
Le transfert et l'application à travers la formation des compétences et les systèmes de support à la prise de décision
La considération et l'évaluation dépandante des échelles, d'espace ainsi que la considération du développement futur sont les fondements indispensables pour le développement et la mise en œuvre des outils nécessaires de gestion pour les décideurs au cours de la troisième et dernière phase. Une tâche liée à cette phase est le développement des systémes spatiaux de support á la prise de décision basés sur SIG (GIS based Spatial Decision Support Systems, SDSS ). Un SSD est en principe un système informatisé qui aide les décideurs à résoudre les problèmes semi-structurés en leur permettant l'accès aux données et aux modèles analytiques ainsi que leur utilisation. Il offre aux utilisateurs des interfaces pour la présentation, l'interprétation et l'évaluation des données sélectionnées. En vue de l'utilisation des données spatiales, les fonctionalités des SIG doivent être implémentées étant donné que celles-ci permettent de prendre des décisions spatialement nuancées. En raison du volume de la recherche, IMPETUS collabore avec nombreux décideurs de différents niveaux hiérarchiques et de degrés de connaissance différents. Les utilisateurs avec des connaissances limitées auront un cours prédéterminé leur permettant d' appliquer les fonctionalités avec les paramètres établis. Il doit être possible pour les experts de changer les paramètres relevants pour la prise de décision afin de pouvoir démontrer les conséquences. Pour le résultat sont intégrés des outils de la production de la présentation spécifique souhaitée sous forme d'un rapport, d'une carte ou d'un tableau. Les mesures de la formation des compétences constituent une autre priorité dans la troisième phase. Ces mesures sont accompagnées, à côté d'autres thèmes importants, de la mise en œuvre de la SDSS. L'utilité pratique du DSS et les bases de données IMPETUS ainsi que la mise en œuvre des options de gestion élaborées par IMPETUS devraient être garanties. Les <<problème-complexes>> et les conditions générales respectives au Bénin et au Maroc déterminent à quels niveaux la formation des compétences s'effectue. Les communautés représentent par exemple au Bénin un point de mire parce qu'elles ont obtenu à travers la décentralisation un accroissement de compétences - notamment dans le domaine de l'eau et la planification de l'utilisation du sol - et veulent maintenant améliorer leur aptitude à exercer ces compétences. La formation des compétences est aussi une offre importante à d'autres partenaires en particulier les autorités de l'eau au niveau national et régional, les universités et instituts de recherche, organisations de la coopération de développement et représentants de la société civile.
Deuxième phase du projet (2003-2006)
Le montage des scénarios et les <<problème-complexes>>
L'analyse du développement futur était au premier plan dans la deuxième phase du projet (2003-2006). Ceci s'est opéré essentiellement sur la base un couplage de modèles appropriés. Puisque la construction d'un système unique couplé ne semblait pas possible, différents composants du système ( Modèles de discipline) ont été couplés selon la question. En raison des incertitudes importantes liées à la modélisation, le futur développement ne peut pas être pronostiqué avec précision. Au contraire, il fallait essayer par le biais de l'analyse de scénarios d'estimer l'écart des développements probables afin que les acteurs puissent déduire des résultats des recommandations d'actions appropriées. Pour ce faire, des scénarios grossiers ont d'abord été développés, oreintés aux tendances générales pour les pays étudiés et en consultation avec les parties prenantes locales, qui ont ensuite été régionalisées et raffinés pour la question respective. À côté du changement climatique, aussi le changement culturel, social et institutionnel, la dynamique de la population, le développement économique ainsi que l'innovation technologique ont été considérés. Pour traiter la complexité des questions identifiées d'une manière convenable, celles-ci ont été conceptualisées en soi-disant <<Problème-complexes>> qui forment le cadre de l'analyse interdisciplinaire et le développement de solutions.
Première phase du projet (2000-2003)
Collecte des données et la modélisation
En raison de l'importance du cycle hydrologique pour la disponibilité de l'eau douce au cours de la première phase de projet de trois ans, les principaux aspects du budget d'eau et l'activité humaine dans les deux régions d'études ont été disgnostiqués et quantifiées. Les liens et dépendances se figurant à l'interieur du cycle hydrologique ont été détectés dans une approche intégrative avec l'aide des modèles conceptuels et numériques existants des différentes disciplines concernées et les modèles ajustés pour chaque région et question respective ont été adaptés et et vérifiés. Des recherches fondamentales ont été menées uniquement dans les cas où l'on ne pouvait pas faire reours à des connaissances existantes en littérature et en expérience. Il s'est montré au début du projet que la base de données existante a été en partie insuffisante. D'importantes collectes de données ont été effectuées dans ces cas, en particulier dans le domaine de la socio-économie, l'ethnologie et la médecine. En particulier pour l'adaption et la vérification des modèles scientifiques et naturels, les des réseaux de données locaux disponibles ont été compactés par l'installation d'instruments propres à IMPETUS le long d'un gradient d'altitude (au Maroc) ou sur les sites d'éssai (au Bénin). Au cours supérieur de Ouémé le réseau de surveillance hydro-météorologique existant a été elargi, avec l'accent mis sur le site Super Test „Aguima“.12 stations de climat et 10 placettes d'observation permanente pour la végétation le long d'un transect d'Atlas d'altitude sur le désert présahelien ont été installés.. L'approche adoptée dans la première phase de projet a été suivie par la classification du projet IMPETUS en projets partiels: une distinction géographique a été faite en une zone de projet A (Bassin versant de Ouémé, Bénin) et une zone de projet B (Wadi-Drâa au Maroc). Les projet partiels étudient la variabilité atmosphérique (A1/B1), l'hydrosphère continentale (A2/B2) et les processus pertinents en terme de l'utilisation et de l'occupation des terres(A3/B3. En outre, l'influence du développement socio-économique (A4/B4) et les conditions culturelles et médicales (A5/B5) ont été étudiés en raison de la disponibilité de l'eau potable. Les projet partiels ont aujourd'hui en grande partie seulement d' importance organisationnele et administrative. Une Description détaillée et les résultats des phases du projet sont disponibles au niveau des publications dans les rapports de projet .
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